lundi, 05 mars 2007
OM 0-1 Lens
Pris en défaut sur un penalty très discutable en deuxième mi-temps, les Olympiens n’ont pas trouvé la solution pour battre Itandje et égaliser.

OM 0-1 LENS
0-1 Dindane (58e, sp)
Tête croisée de Djibril Cissé, frappe tendue de Lorik Cana, la rencontre vivait ses premiers instants et les Marseillais l’animaient avec ferveur.
Malheureusement la furia retombait quelque peu, une fois le premier quart d’heure dépassé, alors que Julien Rodriguez devait laisser ses partenaires sur blessure (remplacé par Renato Civelli).
Verrouillée comme Fort Nox, la partie ne voyait alors aucune des deux formations prendre l’ascendant sur l’autre. Le pressing tenace de part et d’autre et les lignes défensives nordistes resserrées interdisaient tout emballement.
Restaient quelques possibilités de loin. Comme à la 38e minute, avec une reprise de volée de toute beauté de plus de 25 mètres (de peu à côté) signée Mickaël Pagis.
A la pause, la réponse de l’issue des débats ressemblait à un point d’interrogation. Sur quoi le vainqueur de ce match si fermé allait-il l’emporter ? Quel détail, cet élément de haute importance des rencontres à enjeu, allait-il faire tomber la pièce côté pile ou côté face ?
On aurait préféré que cela soit un exploit personnel ou collectif. Ce fut un penalty. Discutable au possible, en plus. Bien lancé par Carrière, Dindane ne résistait pas au duel épaule contre épaule avec Taiwo et s’étendait de tout son long dans la surface. Faute ? Monsieur Bré le pensait et le démontrait. Dindane transformait sous les sifflets. La pendule indiquait presque l’heure de jeu, et la rencontre avait sans doute basculé.
Et tandis que l’OM s’ingéniait à trouver la faille, avec l’entrée en jeu de Valbuena (à la place de Cissé à la 70e), Lens attendait à présent patiemment de placer le contre meurtrier.
Mais malgré les risques encourus, les Phocéens terminaient la partie tambour battant. La chance d’une égalisation en valait bien le prix. Itandje devait ainsi faire le métier sur une tête de Maoulida à bout portant, puis sur un tir puissant de Nasri.
Et même si les minutes s’envolaient et que la muraille lensoise ne se lézardait toujours pas, la résignation ne grignotait pas les têtes. Jusqu’au bout, les Phocéens affichaient leur détermination à accrocher au moins le partage des points. Sans succès. Solides et redoutablement bien organisés, les Lensois contrecarraient ces plans et s’imposaient.
Malheureusement la furia retombait quelque peu, une fois le premier quart d’heure dépassé, alors que Julien Rodriguez devait laisser ses partenaires sur blessure (remplacé par Renato Civelli).
Verrouillée comme Fort Nox, la partie ne voyait alors aucune des deux formations prendre l’ascendant sur l’autre. Le pressing tenace de part et d’autre et les lignes défensives nordistes resserrées interdisaient tout emballement.
Restaient quelques possibilités de loin. Comme à la 38e minute, avec une reprise de volée de toute beauté de plus de 25 mètres (de peu à côté) signée Mickaël Pagis.
A la pause, la réponse de l’issue des débats ressemblait à un point d’interrogation. Sur quoi le vainqueur de ce match si fermé allait-il l’emporter ? Quel détail, cet élément de haute importance des rencontres à enjeu, allait-il faire tomber la pièce côté pile ou côté face ?
On aurait préféré que cela soit un exploit personnel ou collectif. Ce fut un penalty. Discutable au possible, en plus. Bien lancé par Carrière, Dindane ne résistait pas au duel épaule contre épaule avec Taiwo et s’étendait de tout son long dans la surface. Faute ? Monsieur Bré le pensait et le démontrait. Dindane transformait sous les sifflets. La pendule indiquait presque l’heure de jeu, et la rencontre avait sans doute basculé.
Et tandis que l’OM s’ingéniait à trouver la faille, avec l’entrée en jeu de Valbuena (à la place de Cissé à la 70e), Lens attendait à présent patiemment de placer le contre meurtrier.
Mais malgré les risques encourus, les Phocéens terminaient la partie tambour battant. La chance d’une égalisation en valait bien le prix. Itandje devait ainsi faire le métier sur une tête de Maoulida à bout portant, puis sur un tir puissant de Nasri.
Et même si les minutes s’envolaient et que la muraille lensoise ne se lézardait toujours pas, la résignation ne grignotait pas les têtes. Jusqu’au bout, les Phocéens affichaient leur détermination à accrocher au moins le partage des points. Sans succès. Solides et redoutablement bien organisés, les Lensois contrecarraient ces plans et s’imposaient.
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